En Suisse, les maisons de vente ont le vent en poupe. Les raisons ? Le fort intérêt du public pour les objets vendus à la criée et la souplesse du cadre légal de notre pays. Explication avec Marc Dogny, fondateur de la maison qui porte son nom.
Une start-up californienne veut modifier l’ADN des peupliers pour leur permettre d’absorber plus de dioxyde de carbone. Avec des résultats déjà extraordinairement prometteurs, en attendant un développement à grande échelle.
Pour faire face à nos sociétés toujours plus stressantes, le sociologue Rémy Oudghiri prône les microfugues. Des fuites de proximité qui permettent d’échapper à la pression et de sortir des rails de l’existence.
Leurs actions sont restées anonymes. Hommage à quelques-unes de ces personnalités arrivées au bon endroit, au bon moment, mais dont l’histoire n’a pas retenu les noms.
Mathématicienne géniale, elle a calculé les trajectoires des programmes Mercury et Apollo. Au point que les astronautes accordaient davantage leur confiance à sa science qu’aux ordinateurs.
Comment un immigré arménien a transcendé l’humiliation d’avoir été spolié d’une prestigieuse nomination académique en sauvant d’une mort programmée la bibliothèque publique de New York.
Conservatrice de musée et historienne de l’art, elle a permis d’identifier, de sauver et de restituer à leurs propriétaires des dizaines de milliers d’œuvres d’art saisies par les Allemands durant l’Occupation.
L’ingénieur japonais cherchait un moyen de remplacer le système obsolète du code-barres. Plébiscité en Asie, un peu moins en Europe, son QR Code est désormais dans tous les smartphones en raison de la pandémie.
En Suisse, les maisons de vente ont le vent en poupe. Les raisons ? Le fort intérêt du public pour les objets vendus à la criée et la souplesse du cadre légal de notre pays. Explication avec Marc Dogny, fondateur de la maison qui porte son nom.
Une start-up californienne veut modifier l’ADN des peupliers pour leur permettre d’absorber plus de dioxyde de carbone. Avec des résultats déjà extraordinairement prometteurs, en attendant un développement à grande échelle.
Pour faire face à nos sociétés toujours plus stressantes, le sociologue Rémy Oudghiri prône les microfugues. Des fuites de proximité qui permettent d’échapper à la pression et de sortir des rails de l’existence.
Crise sanitaire, disparition de la biodiversité, urgence climatique… Pour la philosophe et économiste à l’Université de Lausanne, il reste à l’humanité neuf ans pour agir. Un délai très court, mais qui ne douche pas l’optimisme de Sophie Swaton, théoricienne de la transition écologique.
La Société Privée de Gérance (SPG) et la Haute École du paysage, d’ingénierie et d’architecture (HEPIA) remettaient en juin le 11e prix du concours « Paysages urbains : révéler et imaginer » sur le thème de la transition écologique urbaine.
Dans le secteur de la mobilité, l’hydrogène s’inscrit toujours davantage en complémentarité avec les véhicules à batterie. Avec des temps de recharge inférieurs et une plus grande autonomie, la pile à combustible séduit aussi le secteur aérien.
Refettorio Geneva va voir le jour sous l’égide du chef Walter el Nagar. Voisin des organisations internationales, il envisage une cantine solidaire, sociale et durable qui permette à tous d’exercer ce droit fondamental qu’est le fait de manger à sa faim.
Des associations et des individus lambda rachètent des terres et parcelles boisées pour les protéger des chasses privées ou des coupes rases. Des initiatives pour remettre la nature « en libre évolution » qui enchantent certains et en agacent d’autres.